26 octobre 2007
Chemins croisés.
L'idée de me mouvoir avec un voyou dans les bras, len-te-ment, lan-gou-reu-se-ment je te respire, tu m'enlaces. Je te voudrais, un peu, que tu t'abandonnes, que nous respirions un peu du temps passé, qu'il nous arrache à la vie qui passe. Que nous respirions Ce qui pourrait être si nous laissions une part de liberté au possible, que nous soyions moins soumis à la vie qui passe.
Je t'embrasse avec tout ce qui ne se définit pas.
Ton Alouette.
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